Alcool
On parle souvent depuis quelques mois de l'alcool chez les jeunes ados. Sujet qui ne m'a jamais vraiment directement concernée, comme je vous l'ai souvent dis, je n'aimes et ne bois pas, ou presque pas d'alcool. Je n'ai pas non plus d'amis ayant un problème avec l'alcool. Mais ça m'inquiète, je ne suis pas aveugle.
Cet été, j'étais à une fête ou un garçon de l'age de ma sœur c'était incrusté. Un petit garçon qui a bu les trois quarts d'une bouteille gin, sec, au goulot. En quelques minutes il s'est retrouvé allongé dans l'herbe comateux. Dans un profond sommeil. A 14 ans en plein été alors que le soleil était encore haut et que je n'avais pas encore bu la moitié de ma despé un échappé du collège était allongé là dans un champ. Ça m'a particulièrement touché, peut être parce qu'il était si jeune et paraissait tel à une allégorie d'enfant avec des traits ronds et une épaisse chevelure blonde. Le cadre aussi a du joué, si on je suis habitué à voir dans un cadre urbain ce type de situation là on été chez moi, dans un petit hameau ou je faisais du vélo petit.
Quand je repense à ça ou que je déambule les jeudis soirs dans les ruelles avoisinant la place de la Victoire, je ne peux penser comme la ministre. Penser que faire voter une loi interdisant la vente de vin, champagne, cidre, bière au mineurs de 16 à 18 ans est la solution. Que c'est de la faute de Smirnoff, Despérados, Jack Daniel...
Moi je me demande pourquoi à 14 ans on se retrouve à boire tous les week-end du Gin au goulot.
Cet été, j'étais à une fête ou un garçon de l'age de ma sœur c'était incrusté. Un petit garçon qui a bu les trois quarts d'une bouteille gin, sec, au goulot. En quelques minutes il s'est retrouvé allongé dans l'herbe comateux. Dans un profond sommeil. A 14 ans en plein été alors que le soleil était encore haut et que je n'avais pas encore bu la moitié de ma despé un échappé du collège était allongé là dans un champ. Ça m'a particulièrement touché, peut être parce qu'il était si jeune et paraissait tel à une allégorie d'enfant avec des traits ronds et une épaisse chevelure blonde. Le cadre aussi a du joué, si on je suis habitué à voir dans un cadre urbain ce type de situation là on été chez moi, dans un petit hameau ou je faisais du vélo petit.
Quand je repense à ça ou que je déambule les jeudis soirs dans les ruelles avoisinant la place de la Victoire, je ne peux penser comme la ministre. Penser que faire voter une loi interdisant la vente de vin, champagne, cidre, bière au mineurs de 16 à 18 ans est la solution. Que c'est de la faute de Smirnoff, Despérados, Jack Daniel...
Moi je me demande pourquoi à 14 ans on se retrouve à boire tous les week-end du Gin au goulot.
3 commentaires:
1 décembre 2008 à 22:31
Difficile, et éternel problème...
Que dire, que faire ?
Pas facile de résoudre un tel problème, mais il est sur qu'interdire la vente aux mineurs n'y changera pas grand chose.
Tizel
1 décembre 2008 à 23:52
Il n'a pas de solution dumoins pas qui releve pas de Roselyne.
3 décembre 2008 à 10:13
Je ne peux que plussoyer ce que vous dites juste au-dessus. L'interdiction que propose Roselyne ne changera rien. Pour avoir moi-même bu un peu trop, et parfois jeune (maintenant je suis TRES TRES sérieuse), je sais qu'il est toujours facile de se procurer de l'alcool (au même titre que les clopes). Les grands frères ou même les copains qui font plus vieux sont de bons atouts pour acheter l'alcool dans une supérette..
Non, le problème est plus "Pourquoi les jeunes ont besoin de ça pour se sentir bien?" Car le soucis est là, nous sommes une génération de gens "malheureux" , blasés. Alors qu'au final.. c'est peut être parce qu'on a un peu trop de choses qu'on se sent blasés..
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